Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
voyage route 66
21 juillet 2019

Samedi 20 juillet 2019

Nous garons notre voiture pour 24heures dans le parking souterrain en face de notre hôtel. Nous ne pouvons la laisser plus de temps. Demain nous la sortirons pour la rentrer moyennant la somme de 10€ par 24h.

Nous circulons en métros, bus et tramways dans Lisbonne. Il faut acheter un titre de transport par personne valable 24h. Chaque titre délivré par une machine coûte 6.4€. La machine est versatile avec notre carte de crédit. Une fois je prends, il fois j'annule l'opération. On devient fou. Un employé du métro parlant français nous arrange nos bidons. Il est habitué à ce genre de situation avec cette machine...

A la sortie du métro, nous avons un aperçu de la ville historique de Lisbonne toutes en collines. Nous remontons à l'air libre par un escalator sur une centaine de metres à la verticale. Cette station à deux sorties, une à l'horizontale de la montagne, l'autre au sommet. Nous déambulons dans des rues larges, qui sont reliées entre elles par des ruelles du style que l'on rencontre sur les pentes de la croix rousse.

DSC_0137

DSC_0144

DSC_0147

DSC_0148

DSC_0154

La ligne 28 de tramway est la plus typique. Le véhicule circule avec les autres occupants de la chaussée, piétons, voiture, bus, moto. C'est un engin du début du XXieme siècle, brinquebalant, rasant les trottoirs, les étales de commerce, avalant les montées et les descentes vertigineuses. Le machiniste ne fait pas dans la dentelle, il accélère et freine sec et actionne la cloche d'alerte à tout moment. Dans ce véhicule rempli de touristes et de quelques autochtones nous sommes secoués comme de vulgaires ballots. Parfois un véhicule est garé sur ses rails, il faut attendre qu'il dégage... Nous nous perdons dans les dédales de la ville. Le fleuve Tage nous permet d'avoir un point de repère, mais la marche à pied est épuisante, montées, descentes, escaliers, on en peut plus.

DSC_0142

DSC_0160

DSC_0183

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un peu de repos au bord du Tage. Charles doit avoir la tronche de l'emploi, on lui propose régulièrement de l'herbe, hachisch, où résine. Les dealers à peine discrets et sympathiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce soir nous irons souper dans une cantine indiquée par le Routard. La nourriture est de bonne qualité et pas chère. Mais nous arrivons au coup de feu et nous sommes entassés dans le resto contre des sardines et du coup c'est bruyant.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
voyage route 66
Publicité
Publicité